La raison d'être de cet évènement est " d’être le principal laboratoire de la construction et de la consolidation du droit africain de l’intelligence artificielle et ce en réunissant des praticiens du droit, des enseignants chercheurs, des informaticiens et toute personne intéressée par l’intelligence artificielle et le droit africain". A cela, il faut ajouter précisément les chefs d'entreprises, les juristes d'entreprise, les professionnels de l'intelligence artificielle et toute personne intéressée par l’intelligence artificielle et le droit des affaires.
Les thématiques identifiées pour nourrir les discussions autour de la thématique globale qui est l’intelligence artificielle et le droit des affaires africain sont les suivantes : " La régulation et la gouvernance de l'intelligence artificielle pour les affaires - Les métiers du droit des affaires et l'intelligence artificielle ; - L'intelligence artificielle et la protection des actifs immatériels ; - L'intelligence artificielle et le droit des contrats d’affaires ; - L'intelligence artificielle et le droit bancaire ; - L'intelligence artificielle et le droit de la concurrence ; - L'intelligence artificielle et le droit de la responsabilité."
Au sortir de ce colloque, il est question de porter un regard à la fois critique, mais constructif sur le droit des affaires en Afrique à la lumière de l'intelligence artificielle. De manière plus spécifique, les organisateurs veulent " oeuvrer pour une meilleure connaissance de l'intelligence artificielle en Afrique ; susciter un débat durable entre les experts africains sur les enjeux et défis de l'intelligence artificielle en Afrique ; impliquer les professionnels du droit dans le développement de l'intelligence artificielle en Afrique ; accompagner grâce au droit des affaires, la régulation et la gouvernance le développement de l'intelligence artificielle en Afrique et surtout proposer des axes d'amélioration pour la mise à niveau du droit des affaires, la régulation et la gouvernance en Afrique".