A Douala au Cameroun, il sera question d’explorer profondément les défis et opportunités qui façonnent l’économie africaine en pleine transformation. Ce, dans un contexte où les bourses africaines ne représentent actuellement que 1% du paysage financier mondial. Les travaux de Douala interpellent prioritairement les ministères de l’économie et des finances, les ministères des TIC ainsi que les organismes sous tutelle. A cela vont s’ajouter les autorités de régulation du secteur financier, les agences de notation, les bourses, les sociétés de bourse, les organismes de microfinance, les banques centrales, les assurances et caisses d’épargne et de retraite. Sans oublier les fonds d’investissement, les sociétés de gestion et d’intermédiation, les sociétés de gestion d’OPCVM, les sociétés d’asset management et de Risk management et autres cabinets conseils, juridiques et de formation.

ESQUISSE DU PROGRAMME

Créée en 2004, cette société marocaine compte un palmarès de plus de 250 forums dans les domaines aussi variés que l’agriculture, les Tic, la banque, la finance, la poste, les infrastructures, les ports entre autres. En cela, elle se présente comme leader dans l’organisation des forums B2B en  Afrique du Nord, Centrale et de l’Ouest. Elle vise la promotion du partenariat Sud-Sud en favorisant l’investissement et le développement des secteurs stratégiques.

Après le bal des arrivées le 23 avril, la deuxième journée sera marquée par une communication d’ouverture avec pour thème : Libéralisation des marchés : analyse prospective de l’impact des politiques gouvernementales et regards croisés sur le rôle essentiel des Etats. S’en suivra un panel débat en clôture de la deuxième journée des travaux intitulé : Développement des produits financiers innovants : comment appréhender le rôle des pouvoirs publics?

La dernière journée, celle du 25 avril sera marquée par deux principaux panels débats; le premier sur l’éducation financière et la sensibilisation aux marchés de capitaux en Afrique : pourquoi de nouvelles approches s’imposent? Et le second abordera l’impact disruptif des tendances technologiques et la digitalisation.